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Photographie | Peinture | Plantes | Botanique | Dessins et plans | Afrique | Botanique -- Nomenclature | Végétation | Forêts classées | Réserves forestières | Géographie | Savanes -- Plantes | Hawaii (États-Unis) | Plantes des savanes | Biologie animale | Orchidées | Plantes médicinales | Plantes tropicales | La Réunion | Ornithologie | ...
Muguet. Source : http://data.abuledu.org/URI/501a32f1-muguet

Muguet

photo d'un bouquet de muguet

Agaves au Burkina Faso. Source : http://data.abuledu.org/URI/54870ca9-agaves-au-burkina-faso

Agaves au Burkina Faso

Agave sisalana, près de la Forêt Classée du Kou, Burkina Faso.

Bois de rempart réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52284611-bois-de-rempart-reunionnais

Bois de rempart réunionnais

Le bois de rempart (Agarista salicifolia) est un arbre de l'Afrique tropicale, de la famille des Éricacées. Toutes les parties de la plante sont extrêmement toxiques et peuvent tuer le bétail. Appliqué contre une simple écorchure, le bois provoquerait une sensation de brûlure. Le bois de rempart est un arbuste à tiges ramifiées et bourgeons foliaires rougeâtres. Son écorce est grisâtre et est très crevassée sur les spécimens âgés. Il ne dépasse pas souvent les huit mètres, étant très concurrencé dans les forêts denses par des espèces mieux adaptées. Bien que toxiques, les feuilles et les graines seraient utilisées contre les éruptions comme l'eczéma et en cas de gale. Les branches serviraient aussi à traiter les rhumatismes et à soigner les plaies en général. D'un point de vue agricole, la plante présente l'intérêt d'être insecticide et de stabiliser les sols. Le bois peut être utilisé pour la construction, mais sa qualité est médiocre. On s'en sert davantage pour fabriquer du charbon de bois.

Bouleau blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983d17-bouleau-blanc

Bouleau blanc

Planche N°306 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Bouleau blanc (Betula pubescens, Betula alba). Les bouleaux poussent en général sur les terres pauvres et souvent siliceuses, jusqu'à 2000 m d'altitude, ainsi que dans les régions arctiques. Les bouleaux sont des plantes pionnières qui constituent souvent la première formation arborée lors de la reconquête ou de la colonisation de landes par la forêt. Ils apprécient les sols plutôt acides et humides. Les bouleaux forment des futaies appelées boulaies ou boulinières ou encore des bétulaies. Cet arbre caduc majestueux de la famille des betulaceae fleurit d'avril à mai. Ses fruits sont des cônes allongés de 10 cm de longueur, dressés puis pendants pour le mâle et de 3 cm dressés pour la femelle. Cet arbre à l'écorce blanche écaillée peut atteindre 20 à 30 m de hauteur et jusqu'à 60 cm de diamètre à la base. Sa sève riche en composés actifs, ainsi que son écorce, recèlent de nombreuses propriétés. Le mot "boul" vient du latin "betula" d'origine probablement celtique (gaulois) d'un thème *betuo-, thématisation de *betu-, dont est issu le nom brittonique de l'arbre : breton "bezv", gallois "bedw". *betu- pourrait être le nom celtique de la poix obtenue en chauffant de jeunes arbres pleins de sève et équivalent du latin "bitumen".

Canal dans la forêt amazonienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f452f9-canal-dans-la-foret-amazonienne

Canal dans la forêt amazonienne

Plan du canal de Casiquaire dressé par Humboldt. Légende d'origine : "Carte de l'Intérieur de la Guyane Espagnole dressée sur les lieux d'Humboldt". En 1799, Humboldt est présenté au roi et à la reine d'Espagne. Il obtient des passeports avec le sceau royal qui garantit aux voyageurs l'assistance des autorités qu'ils rencontrent. Bonpland devient officiellement compagnon et secrétaire de Humboldt. Humboldt et Bonpland sont les premiers à effectuer une exploration scientifique digne de ce nom. L'ambition majeure de Humboldt pendant son voyage aux Amériques est de découvrir l'interaction des forces de la nature et les influences qu'exerce l'environnement géographique sur la vie végétale et animale. Le 5 juin 1799, ils embarquent, à La Corogne, à bord de la corvette « Le Pizarro » à destination du Venezuela, et après une escale aux Canaries, ils arrivent le 16 juillet à Cumaná au Venezuela, à l'est de Caracas. Pendant la navigation, Humboldt fait des mesures astronomiques, météorologiques, de magnétisme, de température et de composition chimique de la mer. En Amérique, il a un profond dégoût pour la façon dont se vendent et s'évaluent les esclaves, même si c'est dans les possessions espagnoles qu'ils sont le moins maltraités. Chateaubriand dira de lui dans son édition de 1827 de "Voyages en Amérique" : « En Amérique, l'illustre Humboldt a tout peint et tout dit ». Humboldt et Bonpland explorent la forêt tropicale pour tenter de confirmer la présence, considérée comme impossible, d'un canal naturel entre l'Orénoque et l'Amazone, le canal de Casiquiare, et de localiser le lieu exact de la source de l'Orénoque. Ils récoltent de nombreux spécimens d'animaux et de plantes inconnus, et Humboldt relève méticuleusement la température du fleuve, du sol et de l'air, et la pression atmosphérique, l'inclinaison magnétique, la longitude et la latitude.

Canard. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d4990d-canard

Canard

Canard barbotant dans une rivière.

Cycle de vie des Angiospermes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6199-cycle-de-vie-des-angiospermes

Cycle de vie des Angiospermes

Cycle de vie d'une Angiosperme. La division Magnoliophyta, ou angiospermes, regroupe les plantes à fleurs, et donc les végétaux qui portent des fruits. Angiosperme signifie « graine dans un récipient » en grec par opposition aux gymnospermes (graine nue). Ils représentent la plus grande partie des espèces végétales terrestres, avec de 250 000 à 300 000 espèces. Les angiospermes diffèrent cependant des autres plantes à graines par la présence des caractères suivants : 1) la condensation des organes reproducteurs en une fleur ; 2) la présence d'un ovaire enveloppant les ovules, et qui se développera pour donner un fruit ; 3) la double fécondation de l'ovule, qui donnera l'embryon et son tissu nourricier, l'albumen. La fleur et le fruit, qui sont propres à ce groupe, entraînent, pour de nombreuses espèces, une interaction avec les animaux dans la reproduction (pollinisation par les insectes, zoochorie...). Les angiospermes dominent les paysages naturels terrestres tropicaux et tempérés, comme la savane ou la forêt. Ils laissent la place aux résineux (Pinophytes) et aux lichens dans les biotopes les plus froids. Ils sont aussi présents dans les milieux aquatiques (Zoostère...).

Écosystème originel de l'île de Hawaï. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093a637-ecosysteme-originel-de-l-ile-de-hawai

Écosystème originel de l'île de Hawaï

Carte de l'écosystème originel terrestre et marin de l'île de Hawaï : avant la colonisation humaine se trouvaient une savane aujourd'hui disparue, et une grande forêt de plaine dont il ne subsiste que quelques fragments.

Élan sortant de son repas aquatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/511568da-elan-sortant-de-son-repas-aquatique

Élan sortant de son repas aquatique

Élan/orignal sortant, après y avoir mangé sous l'eau des plantes aquatiques, d'un étang créé par des castors en Amérique du Nord, dans le Parc national de Grand Teton, situé au nord-ouest de l'État du Wyoming. Ce sont des castors qui, par leur barrage, ont ici entretenu l'habitat de l'Orignal, seul grand herbivore capable de brouter, tête sous l'eau. Les clairières humides et ensoleillées créées par les castors sont également propices à une haute strate herbacée appréciée des grands herbivores. Castor et élan limitent ici conjointement l'eutrophisation et les risques de sécheresse, d'incendie de forêt et d'inondation en aval. Le Castor est une « espèce facilitatrice »

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063ffde-epipactis-a-large-feuilles-et-listere-a-feuilles-ovales

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 présentant deux orchidées. A- L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe. Aire de répartition : eurasiatique, se répand dans le quart nord-est des États-Unis depuis 150 ans. Espèce courante en France, sauf dans les départements du Finistère, du Gers et des Landes. B- Listère à feuilles ovales (Listera ovata), Orchidacée terrestre européenne.

Epipactis à larges feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640152-epipactis-a-larges-feuilles

Epipactis à larges feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe.

Fleurs de plante médicinale sénégalaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5487056d-fleurs-de-plante-medicinale-senegalaise

Fleurs de plante médicinale sénégalaise

Fleurs de Securidaca longipedunculata, Forêt Classée de Patako (Foundiougne), Sénégal, notamment utilisée pour ses vertus cosmétiques et médicinales, en médecine traditionnelle africaine. On la trouve principalement sous des biotopes de type sahélien, au Burkina Faso et au Soudan, dans les zones sableuses où la pluviométrie se situe entre 500 et 1000 mm par an. Elle se présente comme un arbre isolé, atteignant jusqu'à 5 mètres de haut. Elle fleurit d'octobre à novembre, les fleurs sont d'un violet intense et dégagent une odeur forte et sucrée. Le fruit peut rester sur l'arbre durant plusieurs mois. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Securidaca_longipedunculata

Gel en forêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/5907a2b3-gel-en-foret

Gel en forêt

Gel en forêt, 27-12-2013.

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139b924-grues-au-bord-du-marais-de-pinsk-en-polesie

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie

Grues au bord d'un étang, 1890, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831-1898). Le nom slave de la Polésie vient de Pod-lese qui signifie « sous la forêt ». La Polésie est considérée par les historiens slaves comme étant au cœur de la région où les peuples slaves se sont différenciés, avant leur expansion dans toutes les directions aux Ve et VIe siècles. Les marais de Pinsk (en russe : Пинские болота, Pinskie bolota), marais du Pripet ou marais du Pripiat (en russe : Припятские болота, Pripiatskie bolota) sont une vaste zone humide située le long de la rivière Pripiat et de ses affluents. Les marais de Pinsk se trouvent principalement dans les basses terres de Polésie et occupent la plus grande partie du sud de la Biélorussie et du nord-ouest de l'Ukraine. Ils couvrent 98 419 km2 de part et d'autre de la rivière Pripiat. Ils sont couverts par une forêt dense parsemée d'étangs, tourbières et ruisseaux, et s'étendent sur 480 km d'ouest en est et 225 km du nord au sud. L'étendue des marais varie considérablement au cours de l'année, en raison de la fonte des neiges au printemps et des précipitations en automne, qui font déborder la Pripiat et provoquent des inondations. Le drainage de la partie orientale a commencé en 1870 et des zones ont été défrichées et transformées en pâturages et terres agricoles.

Guéréza du Kilimandjaro. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cffe48-guereza-du-kilimandjaro

Guéréza du Kilimandjaro

Guéréza noir et blanc (Colobus guereza) avec son petit, zoo de Mûnster. Le guéréza est diurne et arboricole, on le trouve à la fois dans les forêts de feuillus et les forêts de conifères. C’est une espèce adaptable qui peut supporter les perturbations de son habitat et préfère la forêt secondaire près des rivières ou des lacs. Même si autrefois on pensait qu’il ne mangeait que des feuilles, il mange aussi des graines, des fruits et des arthropodes. Il est capable de digérer de la matière végétale comportant une teneur élevée en fibres grâce à son estomac spécialisé, mais il ne peut manger à la fois qu’un petit nombre d’espèces de plantes. Il est chassé par des rapaces et certains mammifères comme le chimpanzé commun et le léopard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Colobus_guereza

Hêtre des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5064b17a-hetre-des-bois

Hêtre des bois

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 : Hêtre des bois (Fagus sylvatica). Il est l'une des principales essences constitutives des forêts tempérées caducifoliées d'Europe où on peut le trouver en peuplements exclusifs de hêtraies pures ou le plus souvent associé à d'autres espèces majeures dans des forêts feuillues, principalement avec le Chêne rouvre, ou dans des forêts mixtes avec le Sapin pectiné ou l'Épicéa commun. C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.

Houblon grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dfaeb-houblon-grimpant

Houblon grimpant

Planche botanique n°294 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Houblon grimpant (Humulus lupulus). Le houblon grimpant est une plante herbacée vivace grimpante de la famille des Cannabaceae. Elle est parfois appelée couleuvrée ou vigne du Nord. Humulus provient du nom slave khmel' (хмель) (utilisation du houblon pour la préparation des bières dans le Caucase). Les Romains, croyant que le houblon suçait la sève des arbres sur lesquels il grimpait, l'appelèrent lupulus (« petit loup »). Le houblon sauvage semble avoir eu autrefois une certaine importance pour les forestiers. Les archives conservent en effet des témoignages d'amendes données à des personnes ayant coupé du houblon en forêt sans « licence » (sans autorisation). Hildegarde de Bingen (1098-1179) découvrit les vertus aseptisantes et conservatrices du houblon (ainsi que son amertume). Il permettait ainsi à la bière de se conserver mieux et plus longtemps. Auparavant, un mélange d'herbes et d'épices était utilisé pour fabriquer ce que l'on appelait alors la cervoise.

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7967-julienne-des-dames

Julienne des dames

Planche botanique N°29 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : La julienne des dames (Hesperis matronalis). C'est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae . Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. La julienne des dames croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est une plante mellifère, médicinale considérée comme stimulante, antiscorbutique, diurétique, sudorifique, expectorante, rubéfiante et ornementale. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames'

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad9388-julienne-des-dames

Julienne des dames

Julienne des dames (Hesperis matronalis) par Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La julienne des dames est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae. Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames". Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. Elle croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est aussi une plante cultivée comme ornementale. On la trouve souvent dans les mélanges de fleurs de jachères car elle se ressème facilement. Elle est souvent subspontanée. C'est une plante mellifère. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Julienne_des_dames

Kinkeliba au Burkina Faso. Source : http://data.abuledu.org/URI/548a0672-kinkeliba-au-burkina-faso

Kinkeliba au Burkina Faso

Kinkeliba (Combretum micranthum) entre Oursi et Gorom-Gorom, Oudalan, Burkina Faso. Le kinkeliba (Combretum micranthum) fait partie de la grande famille des combrétacées, qui forme le fond arbustif et arboré des forêts de savane. Le kinkeliba prend la forme d'un arbrisseau touffu pouvant atteindre 4 ou 5 mètres, quelquefois réuni en buisson, dont l'extrémité des branches est volubile. Les feuilles, courtement pétiolées, vert sombre, largement ovales, en pointe à l'extrémité, sont entières et coriaces. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kinkeliba

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f15eb-la-fosse-des-ours-au-jardin-des-plantes-a-paris

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.291 : manuel scolaire, édition de 1904. LA FOSSE DES OURS AU JARDIN DES PLANTES. - L'ours se trouve dans toutes les parties du monde. Il recherche les montagnes et les forêts solitaires, où il trouve un abri contre les chasseurs. - Il y en a encore dans les Alpes et les Pyrénées. L'ours marche lourdement, mais nage et grimpe aux arbres avec agilité. Il est assez intelligent, et, comme il peut facilement se tenir sur ses pieds de derrière, les bateleurs lui apprennent à danser et à exécuter divers tours.

Millet des bois ou mélampyre des prés. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e2435-millet-des-bois-ou-melampyre-des-pres

Millet des bois ou mélampyre des prés

Planche botanique de Mélampyre des prés (Melampyrum pratense), Atlas des Plantes de France, 1891. Autrefois également appelé Millet des bois, Cochelet, Sarriette jaune c'est une plante herbacée annuelle de la famille des Orobanchacées (anciennement Scrophulariacées) qui pousse dans les sous-bois, dans les clairières de mi-ombre, ou dans les taches de lumières au sol dans une forêt localement moins dense.

Monotrope. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058dd77-monotrope

Monotrope

Planche botanique du monotrope (Monotropa hipopitys), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante vivant en symbiose avec des champignons ; contrairement à la plupart des plantes, elle ne contient pas de chlorophylle et n'utilise donc pas la photosynthèse. Ceci lui permet de vivre dans des conditions de très faible luminosité, par exemple dans le sous-bois de forêts denses. Elle parasite les arbres, notamment les pins.

Morinda geminata. Source : http://data.abuledu.org/URI/54873247-morinda-geminata

Morinda geminata

Morinda geminata, près de la Forêt Classée de Patako, Sénégal.

Paysage de Haute-Corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dfca69-paysage-de-haute-corse

Paysage de Haute-Corse

Connu par le WWF sous le nom « forêts, bois et broussailles méditerranéens » ou « forêts sclérophylles », l’environnement méditerranéen correspond à un des 26 grands biomes répartis sur l’ensemble de la planète. On y retrouve près de 20 % des espèces de plantes répertoriées, elles se sont adaptées au climat méditerranéen de ces régions : bas plafond, peu dense, peu verte, elle vit un à rythme ralenti et subit les aléas climatiques des régions méditerranéennes, une courte saison sèche, des précipitations irrégulières, des vents importants mais également le feu et les actions de l’homme qui continuent de dégrader encore plus ce biome qui a déjà perdu la moitié de ses terres potentielles. Le terme sclérophylle provient du vocabulaire grec où il signifie "à feuilles résistantes" ; ce terme s’applique aux plantes méditerranéennes comme les oliviers ou les chênes verts, aux protéacées et a été appliqué à l’ensemble de la végétation méditerranéenne qui a dû s’adapter aux contraintes du climat local.

Pied de houblon en forêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dfbb6-pied-de-houblon-en-foret

Pied de houblon en forêt

Pied de houblon (Humulus lupulus) grimpant le long d'un arbre.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc07cb-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés. Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres (Fagus), d’érables (Acer), de bouleaux (Betula), d’aulnes (Alnus) et de résineux. Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières (surtout le colza) sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux. Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.

Régénération forestière naturelle après un incendie. Source : http://data.abuledu.org/URI/582e9ced-regeneration-forestiere-naturelle-apres-un-incendie

Régénération forestière naturelle après un incendie

Régénération naturelle de la fruticée altimontaine à branle vert dominant (Erica reunionensis) cinq ans après l'incendie de 2006.

Roquette de mer sur la dune. Source : http://data.abuledu.org/URI/582eb574-roquette-de-mer-sur-la-dune

Roquette de mer sur la dune

Roquette de mer (Cakile maritima) au pied de la dune littorale, au sud de Capbreton, Landes, France.

Superficie des forêts par pays en 2005. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a1c94-superficie-des-forets-par-pays-en-2005

Superficie des forêts par pays en 2005

Superficie des forêts par pays en 2005 : en ordonnées, par millions de km2, de 1 à 9 ; en abscisses, de gauche à droite : Russie, Brésil, Canada, États-Unis, Chine, Australie, R.D. Congo, Indonésie, Pérou, Inde. Dans le monde, la forêt - au sens le plus large - couvrait en 2005 environ 30 % des terres émergées. Selon la définition retenue, la superficie estimée de la forêt mondiale varie de 2,4 à 6 milliards d'hectares sur la base des chiffres envoyés par les États, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture a estimé la forêt mondiale à presque 4 milliards d'hectares, soit 0,62 ha/habitant. Mais la forêt est mieux préservée sur la ceinture tropicale humide et au nord de la zone tempérée dans l'hémisphère nord. Ailleurs, dans 64 pays abritant un total de 2,0 milliards d'habitants, on compte en 2005 moins de 0,1 hectare de forêt par personne, chiffre qui diminue inéluctablement alors que le taux de population augmente et que la forêt régresse. Sept pays ou territoires ne possèdent plus aucune forêt et dans 57 autres pays, elles ne couvrent plus que moins de 10 % des terres.

Teneur en CO2 de l'atmosphère (Hawaï). Source : http://data.abuledu.org/URI/5093b7a1-teneur-en-co2-de-l-atmosphere-hawai-

Teneur en CO2 de l'atmosphère (Hawaï)

Évolution de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone, mesurée depuis le volcan Mauna Loa, dans l'île de Hawaii. La courbe de cette évolution est connue sous le nom de « courbe de Keeling ». C'est sur le Mauna Loa que les taux mesurés sont les plus élevés, mais on retrouve la même évolution sur d'autres sites dans le monde. La fluctuation annuelle de dioxyde de carbone est dûe aux variations saisonnières causées par les plantes. Comme beaucoup de forêts se trouvent dans l'hémisphère nord, il y a plus de rejet de gaz carbonique dans l'atmosphère durant l'été septentrional que pendant l'été austral. Ce cycle annuel est indiqué dans l'encart en bas à droite de l'image, et montre la concentration moyenne de gaz au cours des différents mois. Ce cycle se répète quelle que soit l'année observée. La courbe grise montre la teneur moyenne mensuelle de dioxyde de carbone, et la courbe rouge représente la moyenne annuelle. Source : Robert A. Rohde (NOAA data , Global Warming Art project).

Tronc mort sur une rivière. Source : http://data.abuledu.org/URI/52088a67-tronc-mort-sur-une-riviere

Tronc mort sur une rivière

Tronc mort dans un fleuve (ou rivière), Forêt pluvieuse de l'Ile de Vancouver, Colombie Britanique, Canada. De tels troncs en descendant les fleuves à l'occasion d'une inondation par exemple peuvent naturellemment transporter des propagules de dizaines d'espèces de plantes et lichens, et des propagules de centaines d'espèces d'invertébrés et microorganismes sur des distances parfois importantes et jusqu'en mer. Noter les arbres qui sont déjà en train de pousser dans le bois en décomposition, profitant de l'humidité et de la lumière reflétée par l'eau. C'est ainsi aussi qu'on peut parfois trouver des arbres dont on ne comprend pas comment ils auraient pu germer ou s'enraciner sous l'eau.

Végétation de la caldeira de Kilauea. Source : http://data.abuledu.org/URI/508d2221-vegetation-de-la-caldeira-de-kilauea

Végétation de la caldeira de Kilauea

Forêt tropicale humide sur les pentes orientales du Kīlauea au Puʻu Huluhulu : d'une grande importance culturelle et économique pour les Hawaïens, cette forêt, demeure des dieux, constituait le principal lieu de ressource en plumes décoratives, herbes médicinales, plantes à tisser et bois de construction